Chacun de nous peut tourner les pages de la Bible et voir que Dieu accomplit des miracles : Moïse sépara la mer Rouge, Élie fit venir une famine, Jésus marcha sur l’eau, et les disciples guérirent les malades.
La Bible renferme des milliers d’événements miraculeux. Si Dieu rend témoignage par des signes et des prodiges, alors où sont Ses miracles aujourd’hui? Peut-Il guérir le cancer comme Il a guéri la lèpre dans la Bible? le sida? le paludisme? Peut-Il encore accomplir un miracle? Oui, Dieu continue d’accomplir des miracles et ces signes accompagnent ceux qui croient.
Maintenant regardez, mes amis, pensez au roi Georges d’Angleterre, qui a été guéri de la sclérose en plaques quand nous avons prié pour lui. Pensez à Florence Nightingale — sa grand-mère a été la fondatrice de la Croix-Rouge — qui pesait environ soixante livres [27 kg], couchée-là, se mourant d’un cancer gastro-duodénal, couchée là, mourante. Une petite colombe s’est envolée dans le buisson, là, et l’Esprit de Dieu est venu et a dit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle vivra.” Et elle pèse cent cinquante-cinq livres [70 kg], elle est en parfaite santé.
Pensez à William Upshaw, membre du Congrès américain, obligé de se déplacer en fauteuil roulant ou de rester alité année après année, pendant soixante-six ans. Et en un instant, il s’est tenu debout, a couru dans le bâtiment, a touché ses orteils, il a été parfaitement rétabli et guéri.
Pensez donc aux milliers et aux milliers de gens qui ont été guéris. Pourquoi resterions-nous assis ici jusqu’à ce que nous mourions? Faisons quelque chose.
Si vous êtes malade ou dans le besoin, ayez la foi. La Bible déclare que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Donc, s’Il était capable d’accomplir un miracle il y a 2000 ans, Il est capable de faire la même chose aujourd’hui. Il nous a promis la guérison; la seule exigence, c’est crois seulement.
Le sénateur Upshaw
William D. Upshaw fut membre de la Chambre des représentants des États-Unis pendant huit ans. En 1932, il était candidat à l’élection présidentielle. Enfant, il fut paralysé à la suite d’un accident agricole, et pendant soixante-six ans, il se déplaçait soit à l’aide de béquilles, soit dans un fauteuil roulant. En 1951, il fut complètement guéri et marcha parfaitement jusqu’à sa mort.
Florence Nightingale
Florence Nightingale, une parente éloignée de la célèbre infirmière, souffrait d’un cancer de l’estomac en phase terminale. En désespoir de cause, elle envoya cette photo accompagnée d’une demande de prière avant que le cancer ne l’arrache à la vie. Comme vous le voyez, elle était à l’article de la mort, avant que le Seigneur Jésus ne la guérisse en 1950. La photo suivante, prise après sa guérison, fut envoyée pour témoigner que Dieu guérit encore les malades.
Tris Griffin
En début 2013, Tris Griffin alla consulter un médecin pour un mal de dos, craignant une récurrence de son cancer. L’IRM montra une “dissection aortique” dans son cœur, ce qui amena les médecins à faire des examens supplémentaires et à programmer une intervention chirurgicale d’urgence pour le lendemain. Sur cette photo, on voit bien la ligne qui traverse le cœur; c’est une fissure, qui, en cas de rupture, se traduirait par une mort presque certaine et rapide.
Le lendemain, après que les croyants prièrent pour elle, les médecins procédèrent à une nouvelle tomographie pour localiser avec précision la fissure, avant l’intervention chirurgicale. Cette fois-ci, les images montrèrent un cœur parfaitement sain. Déconcerté, le chirurgien dit à Madame Griffin : “Je ne sais pas quoi vous dire. Vous aviez une dissection aortique, mais là il n’en reste aucune trace.” Il lui montra les images prises avant la prière, et celles prises après la prière. “Vous pouvez partir. En passant, il n’y a pas non plus de traces de cancer. Vous êtes en parfaite santé.”
La flèche du médecin indique l’aorte : la zone circulaire sombre au centre de l’image. La ligne diagonale qui la traverse s’appelle un anévrisme ou une “dissection” de l’aorte, ce qui nécessite une intervention chirurgicale immédiate; la rupture d’anévrisme est fatale. Une deuxième tomographie fut faite le lendemain. L’anévrisme avait alors totalement disparu, et il ne réapparut jamais.