Ce qu’il nous faut, c’est de revenir au Manuel, de revenir à la Parole de Dieu! Ceci est la Parole de Dieu, la vieille Bible bénie. Vous dites : “Eh bien, ça me fait peur, de devenir comme ça, Frère Branham. J’ai peur de perdre de ma joie.” Qu’est-ce qu’il y a? Vous ne savez pas ce que c’est que la joie.
Je l’ai dit, je ne condamne pas l’ivrogne parce qu’il sort et qu’il s’enivre. Il est tout mélancolique. Il ne sait pas. Il se lève, le matin, il a le cafard, la gueule de bois. Il sort et va se chercher deux ou trois bouteilles de bière, et il sort et va se chercher du whisky, et toutes sortes de choses comme ça.
Cette espèce de petit fumeur de cigarette, qui s’assied là et qui fume, et il se fait sortir ça par le nez comme s’il était un train de marchandises. C’est la seule, — je ne le blâme pas, — c’est la seule joie qu’il connaît. C’est tout ce qu’il connaît. Il est un cochon, par nature.
Honte à vous qui prétendez être chrétiens et qui allez chercher votre joie dans des choses pareilles, alors que l’Évangile du Saint-Esprit est une énorme centrale productrice de joie. L’Évangile du Saint-Esprit est une intoxication parfaite, pour tout homme qui a le cafard. Si vous buvez à l’Évangile de Jésus-Christ, que vous êtes remplis du Saint-Esprit, vous serez ivres jusqu’à ce que vous quittiez ce monde, amen, une joie ineffable et glorieuse. Il y a une stimulation continuelle. C’est une intoxication continuelle, ivre jour et nuit! Amen. Voilà la Parole de Dieu.
L’église en vient à adopter d’autres choses. Il leur faut faire une petite fête, où ils vont tous à la plage, pour se détendre. Une partie de cartes, on se réunit, pour fraterniser. C’est exact. Une soirée de danse, parfois chez l’un des membres, parfois au sous-sol de l’église. Une soirée de danse, adopter, essayer de trouver quelque chose pour satisfaire. Qu’est-ce qu’il y a? C’est une grande bande de cochons, de toute façon. Ce sont des cochons, au départ. S’il leur arrivait d’entrer en contact avec Christ, ils auraient tellement de joie que pour eux ces choses-là seraient mortes et enterrées. L’Évangile, ivres de l’Esprit, une joie ineffable et glorieuse.
Ne condamnez pas le pécheur; ayez pitié de lui. Allez, qu’il fume sa pipe, qu’il boive son alcool, qu’il fasse sa partie de cartes. C’est là qu’il trouve son plaisir. Ne le blâmez pas. Quand il rentre à la maison et tout, fatigué, épuisé, il veut avoir du plaisir. Ce que vous devez faire, c’est vivre une vie tellement sanctifiée que vous pourrez lui prouver qu’il a dix mille fois plus à retirer de l’Évangile que de ces choses. [espace non enregistré sur la bande — N.D.É.] Et s’il meurt dans cet état-là, il ira en enfer, avec son alcool. Ça, c’est l’intoxication du diable. Si, à l’heure de sa mort, il tire encore sur sa vieille pipe, Dieu est son Juge. Si, à l’heure de sa mort, il va encore à ces soirées de danse, et sort encore en portant ces vêtements indécents, Dieu est leur Juge.
Mais une chose est sûre, si vous mourez sous l’onction de la Puissance du Saint-Esprit, — comme Étienne, quand il a levé les yeux et a vu la face de Dieu, il a dit : “Je vois le Ciel ouvert, et Jésus debout à la droite”, — vous êtes en route vers le Ciel, comme une hirondelle vers son nid. Amen.
55-0724 – Les Esprits séducteurs #107-112
Rev. William Marrion Branham